Teresina, cidade verde: para além da imagem poética, uma necessidade

Abstract

The vision of man over nature has been dynamic throughout history: sometimes fear, sometimes domain, sometimes including, sometimes human exclusion. Among the components of the natural environment, the vegetation is one of the elements that remain in the human imagination in the face of urbanization and has contributed to the (re) configuration of cultural / aesthetic / landscape values / ecological front of the natural / environmental assets to be preserved in cities. The city, while unfinished, is a space where the changes are most noticeable and, at the same time, visible impaction of human activities on nature. However, it is noted that environment the existence of spatial components which support the establishment of urban images such as vegetation. In this environment constantly (re) construction, socio-spatial transformations do not always mean a break with the spatial identity arises, for the most part, the consolidated images in the social imaginary. In this context, the aim of this article is to discuss the ideas and actions around the image of the city of Teresina - as Green City "title" given by the poet Maranhão Coelho Neto in 1899. This analysis will be done through the bibliographic references and observations imagetic urban Teresina, seeking out the origin and consolidation image of Piaui capital associated with vegetation and at the same time, identify the actions taken to maintain that image in the urban and social imagination. Finally, identify the challenges of maintaining this spatial image, despite the importance of vegetation to the quality of life and the urban environment, as the accelerated and urban sprawl by passing Teresina, since the mid-twentieth century, it is increasingly more consumer space and therefore vegetation potentiator reduction in urban areas.

La vision de l’homme sur la nature a été dynamique tout au long de l’histoire: tantôt de peur, tantôt de domaine, tantôt d’inclusion, tantôt d’exclusion de l’humain. Parmi les composantes du milieu naturel, la végétation est l’un des éléments qui restent dans l’imaginaire humain face à l’urbanisation et qui contribue à la (re)configuration de valeurs culturelles /esthétiques/ paysagistiques/ écologiques devant les biens naturels/environnementeaux d’être préservés dans les villes. La ville, comme un travail inachevé, est un espace dans lequel les modifications sont plus perceptibles et, en même temps, visibles l’impact des activités humaines sur la nature. Toutefois, on observe dans cet environnement l’existence des composantes spatiales qui servent de support à la mise en place des images urbaines, comme la végétation. Dans ce milieu en permanente (re)construction, les transformations socio-spatiales ne signifient pas toujours une rupture avec l’identité spatiale qui en résulte, dans sa grande partie, des images consolidées dans l’imaginaire social. Dans ce contexte, l’objectif de cet article est de discuter les idées et les actions autour de l’image de la ville de Teresina – comme Ville Verte, « titre » donné par le poète du Maranhão Coelho Neto en 1899. Cette analyse se fera à travers les références bibliographiques et des observations imagées urbaines teresinenses, en cherchant à mettre en évidence l’origine et la consolidation de l’image de la capitale du Piaui associée à la couverture végétale et, en même temps, à identifier les actions développées pour le maintien de cette image dans l’imaginaire urbain et social. Enfin, identifier les défis du maintien de cette image de l’espace , même face à l’importance de la végétation pour la qualité de vie et de l’environnement urbain, puisque la croissance urbaine accélérée et désordonnée par laquelle passe Teresina, depuis le milieu du XXe siècle, est de plus en plus consommateur de l’espace et, donc, pontentialisateur de réduction de la végétation dans l’espace urbain.